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Le Grand Prieuré des Gaules fait le choix de pratiquer la maçonnerie "à la manière d’Ecosse"

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Autrefois réservé aux seuls maçons du Rite Rectifié, le Grand Prieuré des Gaules se consacre désormais à la pratique du très beau « Rite écossais d’Écosse »

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Photo publique, extraite de la page facebook de Jean-François Var (juin 2017)

 

Pourquoi le choix de ce Rite ?

C’est cette excellente option, que nous décidons de saluer en reprenant un extrait du site internet du Grand Prieuré des Gaules :

 

POURQUOI « RITE ÉCOSSAIS D’ÉCOSSE » ?

Afin d’abord de bien marquer, du moins pour ceux qui auront la curiosité de réfléchir et de chercher, que la « pure et ancienne Maçonnerie » est issue du pays d’Ecosse et y a été conservée depuis des siècles avec le minimum d’altérations. C’est donc à cette source-là que, selon notre démarche constante en tous les rites pratiqués au Grand Prieuré des Gaules, nous voulions-nous alimenter.
Ensuite pour rappeler que, dans la terminologie en usage en France depuis les premières décennies de la Maçonnerie, « écossisme » est synonyme d’existence de hauts grades, un rite est dit « Ecossais » lorsqu’il possède de tels hauts grades, un grade est « Ecossais » lorsqu’il est un haut grade, c’est-à-dire un grade au-delà de celui de Maître. Or tel est bien le rite pratiqué en Écosse et importé chez nous dans les conditions que nous allons dire, même s’il sacrifie formellement à la séparation à l’anglaise entre les trois grades « de métier » (Craft) et les autres.

Enfin, last but not least, nous avions la volonté de marquer, sur le plan maçonnique au moins, notre fidélité à l’Auld Alliance – notre Constitution la mentionne expressément – cette Vieille Alliance qui durant plusieurs siècles a uni l’Écosse et la France – contre un ennemi commun qui, est-il besoin de le rappeler, était l’Angleterre. Alliance scellée par le sang versé de nombreux et vaillants fils des Highlands, notamment aux côtés de la Pucelle d’Orléans. Auld Alliance dont la mémoire est restée vivace en Écosse – à chaque voyage en ce pays, ce n’est pas une, c’est plusieurs fois que des Ecossais de rencontre y font nostalgiquement allusion – mais est presque complètement éteinte en France. Cette alliance se manifesta une fois encore en la personne du Très Eminent Grand Maître du Grand Prieuré d’Ecosse Roy Scott lorsque, presque seul, il défendit le Grand Prieuré des Gaules après le coup de force de la GLNF, notamment au cours de la réunion internationale des Grands Prieurés à Stirling en août 2000. A coup sûr, il mérite le surnom de Brave Heart, surnom parlant pour ceux qui connaissent l’histoire de l’Ecosse (ou ont lu Walter Scott).

Toutes ces raisons additionnées ont milité en faveur du choix, parmi les rites anglo-saxons, de celui qui se pratique en Ecosse, pour le pratiquer à notre tour à la manière d’Ecosse, et pour lui donner une épithète qui le qualifie tel : Rite écossais d’Ecosse.

 

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